Dans son rapport 2011 sur la Criminalité en France, l’ONDRP – Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, publié en novembre 2011, a consacré un dossier entier à la cybercriminalité.
La synthèse du rapport est disponible en téléchargement. Le rapport dans son intégralité est publié chez CNRS éditions.
Au sommaire de ce rapport, un article sur la lutte contre la cybercriminalité en Europe que j’ai rédigé au cours de l’été dernier. Je vous le propose aujourd’hui en téléchargement, avec l’aimable autorisation de l’ONDRP.
Son introduction:
Lutter contre la cybercriminalité à l’échelle européenne est à la fois une nécessité et une gageure. La cybercriminalité n’a pas de frontières – même si l’on verra qu’il en subsiste – et les systèmes judiciaires, les cultures, les frontières physiques créent autant de barrières à un contrôle efficace de ces formes de délinquance. Après un peu plus de vingt ans d’actions, d’initiatives et de réussites dispersées mais convaincantes, l’Europe de la lutte contre la cybercriminalité semble vouloir prendre un nouveau virage avec la création d’un véritable outil commun, un Centre Européen de lutte contre la Cybercriminalité – annoncé par le Conseil de l’Union Européenne le 29 avril 2010 et qui devrait voir le jour en 2013. Après avoir parcouru les enjeux et les différentes étapes de cette lutte, nous envisagerons quelques-unes des composantes qui paraissent essentielles pour ces nouveaux outils.
La suite dans le PDF joint.
Il y a quelque chose qui à mon avis pourrait sensiblement diminuer la cyber criminalité, tout en préservant vie privée, liberté et droit à l’anonymat dans l’utilisation des services ou même transactions.
Et plus que sur des nouveautés techniques, cela repose avant tout sur la définition/mise en place d’un nouveau rôle, et organisations associées (plusieurs nécessaires bien sûr), un peu plus développé ci dessous :
http://iiscn.wordpress.com/2011/06/29/idenum-une-mauvaise-idee/
Et par ailleurs exactement le même rôle nécessaire pour permettre la mise en place d’un environnement de publication numérique et achat à l’acte, intrinsèquement non monopolistique, atawad (any time, anywhere, any device), et indépendant des fabricants de machines, magasins en ligne, réseau sociaux :
http://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/
Et cela permettrait aussi des choses comme :
http://iiscn.wordpress.com/2011/06/17/un-exemple-dutilisation-des-m-accounts-reparer-lemail/
(principe similaire applicable nombreux autres domaines)