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Un anti-virus reconnaît comme troyen une DLL de Windows

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Ce n’est pas la première fois qu’un logiciel anti-virus cause de telles difficultés avec des faux-positifs. C’est toutefois moins courant que l’anti-virus en question (AVG) s’en prenne à un composant du système d’exploitation. The Register évoque l’affaire dans cet article.

La conséquence pour l’utilisateur qui supprime le fichier DLL en question : un système qui ne démarre plus.

Cela pose tout de même la question de savoir comment un particulier peut réagir efficacement face aux messages parfois incompréhensibles des logiciels anti-virus et autres firewalls. Et il en est de même pour l’usager lambda dans une entreprise.

Cela veut dire pour moi, que d’une part, même pour un logiciel aussi simple qu’un anti-virus, il ne faut pas oublier de former les utilisateurs aux actions basiques qu’il sera amené à accomplir (où est-ce que je clique ?) et prévoir des procédures adaptées en cas d’infection supposée (est-ce qu’on laisse l’utilisateur se débrouiller seul ou bien faut-il faire systématiquement intervenir quelqu’un du support informatique ?)

Mise à jour du 15/11/2008: A noter (source) qu’AVG offre à tous les abonnés à ses mises à jour payantes une année de licence gratuite.

Mise à jour du 17/11/2008: Un nouvel incident noté avec AVG qui a reconnu par erreur un composant du logiciel Adobe Flash comme malveillant. L’erreur a été corrigée en mois de trois heures.